Il était une fois… un pois !

Il était une fois, un pois… Et pas : il était un pois, une fois… car ce ne serait plus un conte mais une histoire belge et, malgré toute l’affection que nous portons à nos amis belges, nous voulions vous raconter l’histoire merveilleuse et tellement vraie de ce petit pois tout rond, tout vert, et tellement craquant que nous l’avons dévoré ! Vous suivez ? ?

L’histoire vraie du pois Eddy

Reprenons : il était une fois, un pois. Point.
Un point, c’est tout ?
Non, un pois et c’est déjà beaucoup, car ce n’est pas n’importe quel pois.

pois Eddy, une merveille de petit pois

Tout petit, Ernst (c’était son nom de baptême) sentit comme des fourmillements dans les vrilles et il décida de partir à la conquête du monde. Germanique, vous l’auriez deviné par son petit nom, il apprit à s’adapter à d’autres contrées et climats, ce qui lui permit de prendre racines aussi bien au printemps dans les pays plus chauds tels que la France que d’être semé en été chez les Grands-Bretons, le temps de passer la Manche (pour une récolte à l’automne, oui Monsieur !).

Pour faire face à sa volonté d’internationalisation, Ernst compris rapidement qu’il lui fallait changer de prénom pour se faire un nom et, grand fan de vieux rock français (qui l’eût cru !), opta pour celui de son idole : EDDY !

Vert, ventru et plein d’ambition gustative, notre pois ne se voyait pas seul mais s’imaginait chef d’une grande famille, une très grande famille. Dépourvu d’une grosse tête, mais doté d’une longue cosse qui lui offrait la place pour loger tout son monde (ce qui vaut mieux quand le foyer atteint communément de 8 à 11 personnes), Eddy souffre d’un déficit de taille et n’excèdera pas le mètre. Qu’importe, même des petits ont fait carrière !

Pressé de réussir, il se montrera vaillant et vigoureux et résistera effrontément au mildiou ou à l’oïdium, même pas peur !
Et, proposant deux cosses à chaque entrenœud, attention la production : comptez 1 kilo au m², rien que ça. On peut dire que c’est un pois qui fait du poids ! ?

En vieillissant, Eddy s’assèche et se ride mais il n’est pas possible de le laisser ainsi, une thérapie par le froid lui conviendra parfaitement et il sera ainsi ce qu’il a toujours souhaité être : immortel.

Et ça, c’est Rock ‘n Roll ! ?

pois Eddy : 10 grains = minimum !
Comptez bien : 10 grains, c’est bien !

Pour ceux qu’ont pas compris ? :

On parle d’un petit pois vert aux caractéristiques suivantes :
– pois à écosser à grains ridés,
– mi-précoce,
– semis au printemps jusqu’à l’été, en fonction du climat,
– très bonne qualité gustative,
– très productif, aux longues cosses fines et bien remplies,
– gousse de 8 à 11 grains, 2 gousses par entre-nœud,
– environ 90 à 100 cm de hauteur,
– résistant aux maladies (mildiou et oïdium),
– apte à la congélation.

Du bonheur à tous les étages.
Pour vous en procurer, rendez-vous sur le site de La Bonne Graine, disponible de suite.

3 commentaires Ajoutez le votre

  1. Fabrice Piet dit :

    Cool ce petit pois, c’est le coté « productif » qui m’intéresse, pour la saison prochaine s’il apparaît dans votre catalogue

  2. Moretti dit :

    Très intéressant ! Ce petit pois je les adore !
    Habitant en altitude en Auvergne j’espère pouvoir en semer au printemps !

  3. raymond dit :

    pour les avoir essayes cette annee ,tres belle variete ,recolte assez abondante, Eddy est bon en culture facile et exellente qualite gustative

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *